A l'occasion du biopic sur Coco Chanel, le magazine "Vogue" du mois de mai consacre un excellent article au reflet de l'univers de la mode à travers les fictions filmées. Depuis le très rétro "Falbalas" en 1944, jusqu'au tout récent "Le diable s'habille en Prada", 2006, les films utilisent le milieu de la haute couture comme décor de l'intrigue. Polly Magoo, film sorti en 1966 est une satire de celui-ci. Depuis plus de quarante ans, la photographie, le graphisme et l'image sont toujours aussi percutants.
1966 : les filles découvraient en France, Courrèges et Paco Rabanne qui rivetait ses créations métalliques sur le corps de mannequins. En Angleterre, Mary Quant avait établi le règne de la minijupe...et c'était contagieux ! Les grandes adolescentes un peu empruntées en kilt et en chaussetttes découvraient le bonheur d'avoir des jambes. Longues et fines !
"La mode vue par la fiction, c'est de la réalité aménagée où tout peut-être exagéré sans conséquence. Le milieu de la mode se prête à cela comme aucun autre milieu. Le glamour, la sauvagerie, le matérialisme, le génie et la bêtise s'y cotoient et et se fondent en une pluie de phrases cultes et folles, des dialogues de films incomparables." Loïc Prigent , Virginie Apiou : Vogue, mai 2009.
aluria mode haute couture polly maggoo
J'aime ! Quelques images très Pop Art pour continuer... Elles sont extraites du film.
"La mode vue par la fiction, c'est de la réalité aménagée où tout peut-être exagéré sans conséquence. Le milieu de la mode se prête à cela comme aucun autre milieu. Le glamour, la sauvagerie, le matérialisme, le génie et la bêtise s'y cotoient et et se fondent en une pluie de phrases cultes et folles, des dialogues de films incomparables." Loïc Prigent , Virginie Apiou : Vogue, mai 2009.
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J'aime ! Quelques images très Pop Art pour continuer... Elles sont extraites du film.