Aujourd'hui, il fait un temps de Blade Runner.
Une raison suffisante pour s'évader vers quelques musiques de films mythiques et dans cette escapade sous ces auspices, Stanley Kubrick est un maître .
Pour avoir détourné le Beau Danube Bleu des kitchissimes concerts emperlousés du Nouvel An à Vienne...
Strauss dans l'espace, accompagnant la démarche hésitante de l'hôtesse vêtue de Courrèges
Pour avoir osé Beethoven au Synthé Moog, il n'en fallait pas moins pour lécher les sucettes glacées en forme de phallus au Chelsea Drugstore, dans un décor "so seventies !"
Pour avoir posé l'ouverture de la Pie Voleuse de Rossini sur la scène de combat avec les Droogs dans la Marina
Pour avoir compris que l'élégance du trio de Schubert pouvait non seulement supporter l'anachronisme, mais aussi rendre toute sa vérité à la scène de séduction dans Barry Lyndon
C'est ainsi que j'aime Strauss, Beethoven, Rossini et les autres : Wagner, et Schubert...Revus par Kubrick
1 commentaire:
décisif, brutal et violent. .....
ça me fait penser à cette chanson (si tu parles allemand ....)
ww.youtube.com/watch?v=G4gyWkUZtZE
cette chanson est poignante .....
bises
Nathalie
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